Pour Pablo Semán se consacrer à la sociologie fut presqu’une obligation familiale.

L’anthropologie, par contre, fut un objectif muri à la lumière de sa première expérience de chercheur. De toutes façons, il pense que la manière dont sont fixées les frontières entre les disciplines, même si celles-ci existent, est essentialiste, belliqueuse, ignare et peu productive.

Aujourd’hui, il est chercheur indépendant au  Conseil National de Recherche Scientifique et Technologique (CONICET).

Il a publié une grande quantité d’articles et  de livres tels que “Youthidentities in Argentina: beyond tango Palgrave-Mac Millan”, “Bajo Continuo: exploracionesdescentradas en culturamasiva y popular” et  “Cumbia: orígenes y devenires en América Latina”, parmi beaucoup d’autres.

Parmi les auteurs et penseurs qui ont influencé sa trajectoire, il cite sans hésitation et dans le désordre : Max Weber, Antonio Gramsci, Edmund Husserl,Louis Althusser, Juan Carlos Portantiero, José Aricó, Richard Hoggart, Emilio De Ipola, María Julia Carozzi, BeatrizSarlo, Alejandro Frigerio, Horacio Gonzalez, Sigmund Freud, Ricardo Sidicaro Lucas Rubinich, Michel De Certeau, Elizabeth Jelin, María del Carmen Feijoo, Ari Oro, Merleau Ponty, Claudia Fonseca, Otavio Velho, E. P. H Thompson,  Luiz Fernando Dias Duarte, Antoine Hennion, Ernesto Laclau  qui sont mes maîtres à beaucoup d’égards . Evidemment, il y en a bien d’autres. Mais je mentirai si je ne disais pas que chaque jour j’apprends de mes collègues. Denis Merklen, Gabriel Kessler, Cecilia FerraudiCurto, Antonadia Borges, SilvinaMerenson, Gerardo Aboy, Claudio Benzekry, Guadalupe Gallo, Carolina Spataro,  DeboraGorban, José Garriga, Victoria Irisarri, OrnelaBoix, Nicolás Viotti, María GracielaRodríguez.

Il ne voit aucun inconvénient au métier de chercheur.