Marina Mariasch croit qu’écrire ne s’enseigne pas.

On doit avant tout lire, penser et ensuite s’exercer à l’écriture.

Pour cette raison -poétesse, traductrice et poétesse- elle dispense aussi des anti-ateliers.

Sa méthode a permis également de créer « la machine à laver », un collectif d’écriture qui a

déjà publié un livre «la pija de Hegel » [La bite d’Hegel] dont on prépare la seconde édition.

Mariasch a publié des livres de poésie Coming attractions (Siesta, 1997), XXX (Siesta, 2001),

Tigre y león (Siesta, 2005), El zigzag de las instituciones (Vox, 2008) et une nouvelle El

Matrimonio (Bajo la luna, 2011).